-60kg (18 combattants) :

Arthur COFFINIER passe un tour, puis remporte son 1er combat assez nettement par 1210 à 0, en concluant au sol un combat dominé de toute part.

En quart de finale, à 40 secondes de la fin, il mène de 2 pénalités pour son adversaire à 1 pour lui, dans un combat très physique, où il arrive à contrarier les attaques de son adversaire, par un gros travail de garde et une belle présence physique. Alors que la porte d’une demi-finale semble s’ouvrir, il « craque » physiquement et mentalement dans les dernières 40 secondes où il subit IPPON debout, suite un relâchement coupable de garde.

En repêchages, il domine son adversaire jusqu’en fin de combat, mais ne parviendra pas à remonter un tout petit YUKO encaissé à mi-combat sur l’une des rares attaques efficaces de son adversaire, qui gagnera, malgré 2 pénalités reçues pour non combativité.

Arthur n’est vraiment pas loin du niveau des 6 premiers, il doit y croire et continuer à persévérer à l’entraînement ; mais il doit aussi emmagasiner de l’expérience en compétitions.

-66kg (45) :

Léo PUREUR, dont c’était la 2ème compétition officielle, n’a vraiment pas à rougir de son élimination au 1er tour. Car il a fait jeu égal avec un adversaire beaucoup plus expérimenté, Ceinture Marron, avec un bon travail au sol dès que l’occasion pouvait se présenter et avec un bon contrôle des attaques adverses.Prenant confiance dans son combat, Léo va même attaquer debout et s’inclinera sur une « boulette » par manque d’expérience, en lançant un SUTEMI dangereux sur lequel il restera hélas sur le dos, offrant véritablement l’immobilisation à son adversaire ! Ce dernier remportera le combat suivant, mais s’inclinera à son 3ème ; dans un tableau de 45, difficile d’être repêché !

On notera la belle attitude de Léo qui, comme Arthur, doit emmagasiner de l’expérience en compétitions, notamment amicales, en perspective des officielles.

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Bravo à nos deux jeunes pour leur présence et leur attitude, qui ont fait plaisir à leur coach du jour, Anthony DANGRE.

Dommage de ne pas y avoir vu tous nos cadets, qui avaient la chance d’avoir une « seconde » chance d’accrocher une phase nationale (Coupe ou Critérium) après les championnats départementaux.